Aux Vertus des Plantes
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abces dentaire

Tooth abscess – Abcès dentaire

L’abcès est une infection résultant d’une carie dentaire non traitée. Le cas le plus fréquent est l’abcès dentaire : la pulpe dentaire meurt à la suite de l’inflammation non soignée, d’où une infection des tissus qui les détruit (nécrose). L’abcès parodontal est lié à une atteinte du parodonte (le tissu de soutien de la dent) constitué par la gencive et l’os. L’abcès endodontique est situé au bout de la racine de la dent. L’abcès est parfois lié à une complication lors de la poussée des dents de sagesse.

Risques

Les malades atteints d’anomalie cardiaque courent un risque d’infection foudroyante (endocardite infectieuse). Les sportifs risquent des problèmes articulaires et musculaires. Il existe un risque de fausse couche pendant le premier trimestre de la grossesse. Les infections dentaires provoquent aussi des sinusites.

Figuier

Connue depuis la plus haute Antiquité, la Figue aurait, selon Horace, donné au foie son nom, à cause d’Apicius, qui se servait de Figues pour engraisser les oies et obtenir du foie gras.
Très nourrissante, la Figue est aussi facile à digérer et laxative, ce qui la fait conseiller aux dyspeptiques et aux constipés. Emolliente et adoucissante, la Figue sèche fait partie, avec le Raisin sec, le Jujube et la Datte, des « quatre fruits pectoraux », mais on peut tout aussi bien l’employer seule dans les rhumes opiniâtres, les bronchites, la coqueluche, la pneumonie.
A l’extérieur, la décoction de Figue est excellente en gargarismes contre les irritations de la gorge, la toux, l’enrouement et les fluxions dentaires douloureuses. Une Figue chaude sur un abcès dentaire est d’ailleurs un excellent cataplasme maturatif.
Le suc laiteux sécrété par le Figuier était employé autrefois comme purgatif par les Anciens. Il contient une enzyme très active contre les cors et les verrues.

.Le Figuier de Barbarie (Cactus opuntia) est encore appelé Figuier d’Espagne. C’est une espèce de cactus qui croît sur les côtes orientales d’Espagne, aux îles Baléares, en Sicile, en Corse, en Algérie. Les Nord-Africains font une grande consommation de ses fruits, ce qui détermine parfois chez eux une constipation opiniâtre, avec phénomènes de blocage rectal ; on les utilise d’ailleurs en remède contre la diarrhée et la dysenterie.
Les feuilles charnues, débarrassées des épines et hachées crues, sont, paraît-il, un cataplasme efficace contre les points de pleurésie.




HE Melaleuca à feuilles alternes à terpinéol 4

Indications (VT +) :

  • Aphtose, stomatite, gingivite, abcès dentaire (trait. Local), ulcère buccal, pyorrhée ; oropharyngite ; entérite, entérocolites bactérienne +++, candidosique ++++, virale +++, et parasitaire ; appendicite
  • Infections ORL : otite, rhinopharyngite aiguë, bronchite purulente, emphysème (surinfection)
  • Infection génitale, vulvo-vaginite candidosique chronique, vaginite à trichomonas, congestion ovarienne
  • Circulation capillaire cérébrale ralentie ; fatigue cardiaque ; hémorroïdes, varices, anévrisme
  • Asthénie, épuisement général et nerveux, dépression nerveuse (chez le nerveux), énervement et tremblement avant et aggravé durant les règles, frilosité
  • Choc opératoire lié à l’anesthésique (préventif)
  • Brûlures de radiothérapie (préventif)

Contre-indications : Aucune connue





Coquelicot

Déjà cité par Dioscoride, le Coquelicot possède un glorieux passé, puisqu’il était considéré, à l’époque de la Renaissance, comme un spécifique de la pleurésie. Plus près de nous, Chomel le prescrivait “comme un sudorifique plus efficace que le sang de bouc, la fiente de mule et les autres qu’on vante tant”.
La médecine populaire l’utilisait encore il y a peu de temps dans les rhumatismes, les coliques et comme sudorifique conseillé après chaque saignée. Elle l’utilisait aussi dans les toux sèches, les catarrhes pulmonaires, les bronchites, les angines et les coqueluches, et c’est pour ces usages qu’il est encore prescrit de nos jours.

Très adoucissant, le Coquelicot apaise très bien la toux. De plus, jouissant de propriétés calmantes et même légèrement narcotiques, il est précieux dans l’insomnie des enfants et des vieillards, surtout lorsque celle-ci est due à des quintes de toux. Les Arabes dissipent l’insomnie en mangeant à plusieurs reprises dans la journée des graines de Coquelicots pilées dans du miel.
A l’extérieur, on utilise parfois la fleur de Coquelicot contre les maux d’yeux et les abcès dentaires, et la capsule en gargarismes calmants en remplacement de la capsule de Pavot. Le Coquelicot entre dans la fameuse “tisane des 4 fleurs pectorales” (qui, d’ailleurs est composée non pas de 4, mais 7 fleurs).




Esthétique

Associé à d’autres plantes comme la sauge le coquelicot entre dans la préparation de crèmes destinées à corriger les petites imperfections des peaux grasses. L’infusion de 15 grammes de pétales dans un demi-litre d’eau, filtrée, refroidie, constitue une très bonne lotion pour l’entretien de l’épiderme. Elle est également très efficace pour reposer les yeux fatigués ou irrités.

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