uterus
Cervical cancer – Cancer du col de l’utérus
L’utérus est un organe creux, en forme de poire, situé dans la partie inférieure de l’abdomen de la femme, entre la vessie et le rectum. L’embryon s’y développe depuis la fécondation de l’œuf jusqu’à la naissance.
Pendant la grossesse, la taille de l’utérus augmente. Quand la femme n’est pas enceinte, l’utérus est de petite taille (une dizaine de centimètres de long).
La partie inférieure la plus étroite de l’utérus, qui ouvre sur le vagin, est le col ; les tumeurs apparaissant sur cette partie de l’utérus sont appelées cancers du col de l’utérus
Causes
Il peut apparaître dans toutes les tranches d’âge à partir de 25-30 ans. Il n’est pas lié à des facteurs héréditaires, mais à une infection par un virus de la famille des papillomavirus (HPV), sexuellement transmissible.
Le cancer du col de l’utérus, tout comme les autres cancers, n’est pas contagieux. Mais le HPV, lui, l’est. C’est un virus extrêmement répandu, qui peut provoquer des lésions précancéreuses (dites condylomes ou dysplasies), dont la gravité augmente avec le temps et qui, si elles ne sont pas traitées, risquent parfois de dégénérer et de former un cancer.
A l’inverse, les femmes non infectées par le HPV ont un risque nul de développer un cancer du col.
The uterus is a hollow member, pear-shaped, in the lower abdomen of women, between the bladder and the rectum. The embryo develops there from fertilization of the egg until birth.
During pregnancy, the uterine size increases. When the woman is not pregnant, the uterus is small (ten centimeters long).
The narrower lower part of the uterus that opens into the vagina, is the neck; tumors appearing on this part of the uterus are called cancer cervix.
Causes
It may appear in all age ranges from 25-30 years. It is not linked to hereditary factors but with infection by a virus of the family papillomavirus (HPV), sexually transmitted.
Cervical cancer of the uterus, like other cancers, is not contagious. But HPV, he is. This is an extremely common virus that can cause precancerous lesions (called dysplasia or genital warts), the severity increases with time and that, if left untreated, may sometimes degenerate and form a cancer.
Conversely, non-HPV-infected women have no risk of developing cervical cancer.
Cancer of the cervix uteruse – Cancer du col de l’uteruse
Les cancers de l’utérus débutent presque toujours au niveau de l’endomètre. C’est pourquoi on parle le plus souvent de “cancers de l’endomètre”. Il en existe plusieurs types, mais le carcinome est de loin le plus fréquent.
Tant qu’ils restent localisés (pas d’extension de la tumeur vers d’autres organes), ces cancers sont de bon pronostic. D’après l’étude Eurocare 4 rendue officielle en 2009, l’espérance de vie à 5 ans des patientes ayant eu un cancer de l’endomètre est de 73%.
Causes
Le cancer de l’endomètre survient généralement après la ménopause, chez des femmes âgées de 55 à 70 ans. Les facteurs de risque sont nombreux : l’âge, l’obésité, le diabète, l’hypertension, le fait de ne pas avoir eu d’enfants, la ménopause tardive… Le cancer de l’endomètre peut parfois être lié à des facteurs héréditaires. Il est alors associé dans les familles à un risque élevé de cancer du côlon et plus rarement de l’ovaire.
Certains traitements peuvent exposer au risque de cancer de l’utérus. C’est en particulier le cas des traitements hormonaux mal conduits ou des traitements affectant le fonctionnement des hormones féminines œstrogènes. C’est la raison pour laquelle une surveillance gynécologique attentive est nécessaire lorsqu’on a reçu un traitement aux anti-œstrogènes dans le cadre de la prise en charge d’un cancer du sein.
Uterine cancers almost always begin at the endometrium. This is why most often is called “endometrial cancers.” There are several types, but the carcinoma is by far the most common.
As long as they remain localized (no spread of the tumor to other organs), these cancers have a good prognosis. According to Eurocare 4 study made official in 2009, life expectancy at 5 years for patients who had endometrial cancer is 73%.
Causes
Endometrial cancer usually occurs after menopause in women aged 55 to 70 years. The risk factors are numerous: age, obesity, diabetes, hypertension, the fact of not having had children, late menopause … Endometrial cancer can sometimes be associated with hereditary factors. It is then associated in families at high risk of colon cancer, and more rarely the ovary.
Some treatments can expose to the risk of uterine cancer. This is particularly the case of hormonal treatments or treatments behaved badly affecting the functioning of the female hormone estrogen. This is why a gynecological careful monitoring is required when received treatment with antiestrogens under the management of breast cancer.
Sauge officinale
Toujours utilisée sans désaffection depuis ces temps lointain, la Sauge est un excellent tonique, à la fois des voies digestives et du système nerveux. Elle stimule les fonctions de l’estomac et du foie, came les douleurs et les nausées. Elle est très recommandée contre l’asthénie nerveuse, surtout lorsqu’elle succède à une longue maladie épuisante.
C’est aussi le meilleur anti-sueur connu, qui agit puissamment contre les sueurs des tuberculeux, des rhumatisants, des cachectiques.
C’est donc la plante des convalescents, puisqu’elle combat les sueurs, la faiblesse, le manque d’appétit, les digestions pénibles, la dépression physique et morale.
Son action tonique sur l’utérus la fait utiliser après un accouchement, car elle régularise et fait réapparaître les règles. Elle calme aussi les douleurs qui accompagnent parfois les règles et, par son action régulatrice sur le cycle mensuel, facilite la conception.
On lui reconnaît depuis 1938 une action hypoglycémiante, et le vin de Sauge est très recommandé aux diabétiques.
Excellent cicatrisant, elle est employée avec succès contre les aphtes et les ulcérations de la bouche et des gencives. Le Dr Trousseau a même obtenu de beaux résultats avec le vin de Sauge, additionné de 300 g de miel par litre, pour réduire et fermer les ulcères de jambe.
La Sauge sclarée (Salvia sclarea) a des feuilles très grandes et ridées, des fleurs rosées et répand une odeur forte. On l’appelle encore Orvale, Grande Sauge, Toute-Bonne ou Herbe aux plaies.
Peu utilisée de nos jours, elle était considérée comme stimulante et antispasmodique, et on lui accordait, et on lui accordait à peu près les mêmes vertus qu’à la Sauge officinale. Conseillée aux femmes stériles par Tragus, elle était aussi recommandée dans les affections hystériques. On lui trouvait une activité plus grande que la Sauge officinale sur les ulcères de mauvaise nature, et Cazin la prônait contre le relâchement des tissus et l’engorgement œdémateux des jambes. On l’utilise aux mêmes doses que la Sauge officinale.
On emploie en parfumerie l’essence de Sauge sclarée comme fixateur des parfums.