Encyclopédie médicale
Viral tonsillitis – Angine Virale
L’angine est une inflammation banale et fréquente des amygdales (on parle aussi d’amygdalite) responsable de douleurs à la déglutition. 50 à 90 % des angines sont virales. L’angine virale est provoquée par des virus, en général les mêmes que ceux du rhume ou des infections hivernales.
Les antibiotiques sont inefficaces sur le virus ; de plus, ils ne permettent pas de prévenir les surinfections bactériennes ou d’accélérer la guérison.
Risque / Causes
9 millions d’angines sont diagnostiquées chaque année en France et jusqu’à 90 % de ces angines aiguës sont d’origine virale, notamment chez l’adulte, mais aussi chez le nourrisson et l’enfant de moins de 3 ans.
Elles n’exposent pas à des complications, contrairement à l’angine à streptocoque.
8 millions d’antibiotiques sont pourtant prescrits chaque année.
Les virus en cause lors d’une angine virale sont des adénovirus,virus influenza, virus respiratoire syncytial ou virus para-influenza ; ils ont un tropisme particulier pour la sphère ORL (nez, gorge et oreille) et sont donc responsables d’angines, mais aussi de rhinopharyngites ou autres bronchites hivernales qui évoluent par épidémies.
Plus rarement, le virus d’Epstein-Barr (EBV) est en cause et provoque une mononucléose infectieuse.
Angina is a common and frequent inflammation of the tonsils (also called tonsillitis) responsible for pain on swallowing. 50-90% of sore throats are viral. Viral sore throat is caused by viruses, generally the same as the common cold or winter infections.
Antibiotics do not work on viruses; moreover, they do not help prevent bacterial infection or to accelerate healing.
Risk / Causes
9 million angina are diagnosed each year in France and up to 90% of acute tonsillitis are caused by viruses, especially in adults but also for infants and children under 3 years.
They do not expose to complications, unlike angina streptococcus.
8000000 antibiotics are prescribed each year yet.
The relevant virus upon viral angina are adenoviruses, influenza viruses, respiratory syncytial virus or parainfluenza virus; they have a particular tropism for the ENT (nose, throat and ear) and are therefore responsible for angina, but also other winter bronchitis and nasopharyngitis evolving by epidemics.
More rarely, the Epstein-Barr virus (EBV) is involved and causes infectious mononucleosis.
Streptococcus angina – Angine à Streptocoque
L’angine est une inflammation banale et fréquente des amygdales (on parle aussi d’amygdalite) responsable de douleurs à la déglutition. La plupart des angines sont d’origine virale mais une origine bactérienne doit particulièrement être redoutée en raison des complications possibles : il s’agit de l’angine à streptocoque.
Les complications sont potentiellement graves, avec le rhumatisme articulaire aigu (RAA), une atteinte rénale (glomérulonéphrite aiguë) et cardiaque, mais elles sont prévenues par le traitement antibiotique.
Causes
Tout l’enjeu des angines à streptocoque est de les dépister (par un test de diagnostic rapide ou TDR) et de les traiter précocement pour éviter les complications. Le streptocoque bêta-hémolytique du groupe A (SGA), la bactérie en cause, ne représente qu’une minorité des angines. Sur les 9 millions d’angines diagnostiquées chaque année en France, 50 à 90 % des angines aiguës sont d’origine virale et seules 10 à 25 % des angines de l’adulte ont pour origine le streptocoque bêta-hémolytique.
Le pic de fréquence se situe chez l’enfant entre 5 et 15 ans.
Angina is an inflammation of the throat. is a common and frequent inflammation of the tonsils (also called tonsillitis) responsible for pain on swallowing. Most sore throats are viral but a bacterial origin must be particularly feared because of possible complications it comes to streptococcal angina.
The complications are potentially serious, with rheumatic fever (CEOS), kidney damage (acute glomerulonephritis) and heart, but they are prevented by antibiotic treatment.
Causes
The challenge streptococcal pharyngitis is to screen (by a rapid diagnostic test or TDR) and treat them early to avoid complications. Beta-hemolytic Group A Streptococcus (GAS) bacteria involved, only a minority of tonsillitis. Of the 9 million tonsillitis diagnosed in France every year, 50-90% of acute sore throats are viral origin and only 10-25% of adult sore throats are caused beta-hemolytic streptococcus.
The peak incidence is in children between 5 and 15 years.
Anévrisme de l’aorte abdominale
L’aorte est la plus grosse artère du corps humain. L’anévrisme de l’aorte abdominale (ou AAA) est une dilatation d’une partie de cette artère, due à une faiblesse de la paroi. Le risque est la rupture avec un décès quasi certain.
On distingue en fait deux types d’anévrismes : les anévrismes « vrais » avec un élargissement de l’aorte et les « faux » anévrismes représentés par une poche anévrismale (comme un sac appendu à l’aorte).
Risque / Causes
Chaque année, on découvre 200 000 nouveaux cas anévrismes de l’aorte abdominale. L’athérome est la cause principale des anévrismes de l’aorte abdominale, représentant 95 % des cas. L’anévrisme de l’aorte abdominale s’intègre donc dans le cadre des maladies cardio-vasculaires et touche principalement une population de plus de 60 ans.
D’autres causes sont plus rares comme la syphilis, les anomalies congénitales du tissu élastique (maladie de Marfan) ou les infections. Le risque est représenté par la rupture ; ce risque est estimé à près de 20 % en cas d’anévrisme d’un diamètre supérieur à 7 cm.
Hypertension artérielle (HTA) et athérome modifient la résistance de la paroi aortique : l’affaiblissement conduit à une distension lente et progressive de l’aorte.
Cette distension est inéluctable : la tension de la paroi de l’artère est en effet proportionnelle à son rayon et à la pression artérielle (loi de Laplace).
L’HTA est donc un facteur aggravant de l’anévrisme de l’aorte abdominale.
The aorta is the largest artery in the human body. The abdominal aortic aneurysm (AAA) is an expansion of a portion of the artery due to a weakness in the wall. The risk is breaking with almost certain death.
Be distinguished in two types of aneurysms: Aneurysms “true” with an enlargement of the aorta and the “false” aneurysms represented by an aneurismal sac (sac as a pendant to the aorta).
Risk / Causes
Each year, we find 200,000 new cases of abdominal aortic aneurysms. The atherosclerosis is the leading cause of aneurysms of the abdominal aorta, accounting for 95% of cases. The abdominal aortic aneurysm thus fits in the context of cardiovascular disease and primarily affects a population of more than 60 years.
Other causes are rare, such as syphilis, congenital anomalies of the elastic tissue (Marfan’s disease) or infections. The risk is represented by the fracture; this risk is estimated to be about 20% in case of aneurysm diameter greater than 7 cm.
Hypertension (HTA) and atherosclerotic change the resistance of the aortic wall: the weakening leads to a slow and gradual stretching of the aorta.
This distension is inevitable: the wall tension of the artery is in effect proportional to its radius and to the arterial pressure (Laplace’s Law).
Hypertension is an aggravating factor for abdominal aortic aneurysm.
Chemo-induced anemia – Anémie Chimio-induite
L’anémie est définie par une baisse du nombre de globules rouges ou d’hémoglobine qui transporte l’oxygène (< 11 g/dl). L’anémie est fréquente chez les patients souffrant d’un cancer, et est liée au cancer lui-même, aux traitements et notamment à la chimiothérapie ; on parle dans ce dernier cas d’anémie chimio-induite. L’anémie chimio-induite entraîne comme toutes les anémies une fatigue intense. En cas d’anémie avérée, un traitement par érythropoïétine (EPO) ou par transfusion sanguine est envisagé.
Risques / Causes
Plus de 80 % des patients se plaignent d’asthénie ou fatigue intense. Elle est l’effet indésirable le plus fréquent de la chimiothérapie. L’anémiechimio-induite est parmi toutes les causes de fatigue chronique l’effet indésirable réversible le plus fréquent, et justifie un traitement et une écoute particulière de la part des soignants pour limiter l’impact négatif sur la qualité de vie des patients cancéreux.
L’anémie chimio-induite en cancérologie est due aux agents chimiothérapeutiques qui détruisent toutes les cellules qui se divisent rapidement dans l’organisme, qu’elles soient cancéreuses ou saines. Les globules rouges, produits dans la moelle osseuse, en font partie en raison de leur taux de renouvellement important.Par ailleurs, la chimiothérapie agit en inhibant la capacité de la moelle osseuse à produire de nouveaux globules rouges en diminuant la sécrétion rénale d’une hormone appelée érythropoïétine.Les globules rouges qui transportent l’oxygène dans l’organisme étant moins nombreux, la quantité d’oxygène acheminée est moindre et la fatigue se manifeste.
Anemia is defined by a decrease in red blood cells or hemoglobin that carries oxygen (<11 g / dl). Anemia is common in patients suffering from cancer, and is linked to cancer itself, and in particular to treatment with chemotherapy; one speaks in this case of chemotherapy-induced anemia. The chemotherapy-induced anemia causes anemia like all severe fatigue. In proven cases of anemia, an erythropoietin therapy (EPO) or via blood transfusion is considered.
Risks / Causes
Over 80% of patients complain of asthenia or severe fatigue. It is the most common side effect of chemotherapy. The anémiechimio-induced is among all chronic fatigue causes reversible adverse effects the most common, and justifies special treatment and listening on the part of caregivers to limit the negative impact on the quality of life of cancer patients.
The chemotherapy-induced anemia in cancer is due to chemotherapeutic agents that destroy all cells that divide rapidly in the body, whether healthy or cancerous. Red blood cells produced in the bone marrow, in part because of the refreshing rate important.Par Moreover, chemotherapy acts by inhibiting the ability of the bone marrow to produce new RBCs decreasing renal secretion of érythropoïétine.Les hormone called red blood cells that carry oxygen throughout the body being fewer, the amount of oxygen fed is less and fatigue occurs.
Cutaneous bulbs – Ampoules Cutanées
Les ampoules cutanées apparaissent spontanément lorsqu’il y a frottement important et répété de l’épiderme.Les ampoules naissent d’une réaction des cellules à cette friction par cisaillement qui agit comme une brûlure : la couche superficielle de la peau se décolle jusqu’à former une cloque au sein de laquelle suinte un liquide clair, une sérosité.
L’ampoule équivaut à un deuxième degré de brûlure (caractérisé par les cloques).
Skin blisters appear spontaneously when there is significant and repeated friction of the epidermis. The bulbs arise from a reaction of the cells to shear the friction which acts as a burn : the surperficial layer of the skin peels off until forming a blister in which a clear liquid – serum – oozes.
The bulb is equivalent to a second degree burn (characterized by the blisters).
Alzheimer
La MA est une affection dégénérative du cerveau responsable d’un état de démence d’installation progressive. La démence correspond à une altération durable des fonctions intellectuelles (mémoire, attention, langage, savoirs, raisonnement, jugement, gestuelle…) et/ou comportementales (personnalité, émotions, sociabilité…), et cette altération est suffisamment sévère pour entrainer une altération de l’autonomie dans la vie quotidienne. Il existe de nombreuses causes de démence, et la MA en est la cause la plus fréquente (plus de 50% des cas de démence diagnostiqué).En pratique la MA est due à une accumulation anormale de plusieurs protéines au niveau de certaines zones du cerveau en particulier les zones responsables de la mémoire (que l’on appelle les hippocampes). Ce stockage anormal abouti à terme à la mort prématurée des neurones de ces régions cérébrales et donc à leur dysfonctionnement progressif. La MA n’est donc pas une forme de vieillissement normal du cerveau, il s’agit d’une maladie à part entière.
Facteurs de risques
Le principal facteur de risque de développer une maladie d’Alzheimer estl’âge.
Les autres facteurs de risques sont moindres. On retrouve des facteurs de risque en rapport avec l’environnement ou liés au mode de vie (tabac, alimentation trop riche, isolement social, faible niveau d’étude) mais également des facteurs de risque génétiques (ce qui est rare mais particulièrement vrai pour les formes très précoces de MA, avec un début de la maladie avant 60 ans)
AD is a degenerative disorder of the brain responsible for a state of gradual dementia onset. Dementia is a lasting deterioration of intellectual functions (memory, attention, language, knowledge, reasoning, judgment, gestures …) and/or behavioral (personality, emotions, sociability …) and this impairment is severe enough to cause impairment of autonomy in daily life. There are many causes of dementia, and AD is the most common cause (more than 50% of diagnosed cases of dementia). In practice, AD is due to an abnormal accumulation of several proteins at certain areas of the brain particularly the areas responsible for memory (called seahorses). This abnormal storage term resulted in premature death of the neurons in these brain regions and thus to their progressive dysfunction. The MA is not a form of normal brain aging, it is a wholly disease.
Risk Factors
The main risk factor for developing Alzheimer’s disease estl’âge.
Other risk factors are lower. We find the risk factors related to the environment or related to lifestyle (smoking, diet too rich, social isolation, low level of education) but also genetic risk factors (this is particularly true for rare but very early forms of AD, with onset of the disease prior to age 60)
Allergies
L’allergie se définit par une réponse immunologique de l’organisme, inadaptée et exagérée vis-à-vis de certaines substances étrangères : les allergènes. L’allergie se manifeste ainsi au contact des pollens, acariens, poils d’animaux mais aussi de certains aliments ou médicaments. L’environnement comporte de nombreux allergènes auxquels le patient allergique peut réagir.
Les allergies peuvent affecter les yeux, la peau, les voies respiratoires comme le nez ou les bronches.
Causes
L’allergie nécessite plusieurs étapes pour pouvoir se manifester. La première étape est une étape dite de sensibilisation, première rencontre avec l’allergène. Ce n’est qu’à partir du second contact minimum que la réaction allergique apparaît en libérant une substance, l’histamine, responsable des symptômes. L’action de l’histamine peut être bloquée par des médicaments spécifiques appelés «antihistaminiques ».L’allergie n’a pas de caractère héréditaire, mais un terrain allergique (ou atopique) la favorise : des enfants de parents allergiques présentent plus de risques d’avoir aussi une sensibilité allergique.
Allergy is defined as an inappropriate and excessive immunological response of the body against some foreign substances : the allergens. The allergy manifests thus in contact with pollen, mites, pet hair, but also to certain foods or drugs. The environment contains many allergens to which the allergic patient can react.
Allergies can affect the eyes, skin, respiratory system like the nose or bronchi.
Causes
Allergy requires several steps in order to manifest. The first step is a step called awareness, first meeting with the allergen. It is only at the second minimum contact that the allergic reaction occurs, releasing a substance named histamine, responsible for the symptoms. The action of histamine could be blocked by specific drugs called “antihistamines”. The allergy is not hereditary, but an allergic (or atopic) plot promotes it : Children of allergic parents present greater risks to also have an allergic sensitivity.
Peritoneal Adhesions – Adhérences péritonéales
Les adhérences péritonéales (ou post-opératoires) sont la complication la plus fréquente de la chirurgie abdominale et surtout gynécologique. Ces cordages fibreux, appelés « brides » par les chirurgiens, se forment à partir du péritoine, trois à cinq jours après l’intervention chirurgicale. Leur apparition se fait de manière imprévisible n’importe où dans le ventre. Formant un obstacle imprévu par la nature, ces adhérences peuvent gêner ou étrangler inopinément les viscères, principalement l’intestin grêle. Tout patient opéré doit être informé de leur possible survenue
Risques
Environ 40 % des occlusions et 70 % des occlusions de l’intestin grêle sont dues à des adhérences péritonéales. Une occlusion négligée met la vie en péril faute d’une intervention médico-chirurgicale rapide. On peut en mourir.
Outre les risques d’occlusions intestinales, les adhérences compliquent le travail du chirurgien lorsqu’il faut réintervenir chez ces patients.
Moins périlleuses mais très pénibles, les adhérences provoquent des gènes et des douleurs abdominales chroniques, en particulier lors des rapports sexuels. Surtout, les adhérences sont la deuxième cause acquise de stérilité-infertilité féminine (39 %), pas facile à traiter ; leur cure chirurgicale (adhésiolyse) ne permet qu’un taux de grossesse de 45 % à deux ans.
The peritoneal adhesions (or post-operative) are the most common complication of abdominal surgery and especially gynecological. These fibrous cords called “brides” by surgeons, are formed from the peritoneum, three to five days after surgery. Their appearance occurs unpredictably anywhere in the belly. Forming an unexpected obstacle by nature, these adhesions can hinder or strangle unexpectedly viscera, primarily the small intestine. Every operated patient must be aware of their possible occurrence.
Risks
About 40% of occlusions and 70% occlusion of the small intestine are due to peritoneal adhesions. A neglected occlusion endangeres life for lack of prompt medical surgery. You might die.
Furthermore the risk of intestinal obstructions, adhesions complicate the work of the surgeon when an operation is necessary once more on these patients.
Less dangerous but very painful, adhesions cause embarrassements and chronic abdominal pains, especially during sexual intercourses. Especially, adhesions are the second cause of female infertility (39%), not easy to deal with; their surgical cure (adhesiolysis) allows only a pregnancy rate of 45% in two years.
Acné chez la femme
L’acné dite vulgaire est une hypersécrétion des glandes sébacées associée à une obstruction des pores de la peau par les cellules cutanées. Elle se manifeste donc où la peau est la plus grasse, le visage (front, nez, menton mais elle peut s’étendre à toute la face), le haut du dos et des épaules.
Le sébum produit en excès ne s’éliminant plus il forme des microkystes (“points blancs”) lorsque le pore est totalement fermé, ou des comédons (les “points noirs”) lorsqu’il est partiellement ouvert et que le sébum s’oxyde (noircit) au contact de l’air.
L’inflammation se produit spontanément ou par la manipulation des microkystes, qui deviennent alors des boutons rouges (papules), parfois purulents (pustules). Le principal germe responsable de cette inflammation est une bactérie, Propionibacterium acnes. La croûte des pustules laisse souvent place à des cicatrices plus ou moins profondes et étendues.
Risques
L’acné de l’adulte est souvent moins sévère que lors de la puberté. Le retentissement psychologique est généralement moins important que chez l’adolescent, mais une peau grasse, irrégulière, présentant des pores dilatés, des boutons et/ou des cicatrices reste mal vécue. Lorsque l’acné laisse des marques cutanées importantes et irréversibles, des interventions dermatologiques spécifiques (dermabrasion, laser…etc.) et onéreuses peuvent être nécessaires pour les supprimer ou les estomper.
Acne vulgaris is called hypersecretion of sebaceous glands associated with clogging of the pores of the skin by the skin cells. It therefore occur where the skin is oilier, the face (forehead, nose, chin but it can extend to the entire face), upper back and shoulders.
Sebum, produced in excess doesn’t remove anymore and forms more mycrocysts (“white spots”) when the pore is completely closed, or comedones (“black spots”) when it is partially opened and the sebum oxidizes (darkens) in contact with the air.
Inflammation occur spontaneously or by manipulation microcysts, which then become red bumps (papules), sometimes pus (pustules). The main germ responsible for this inflammation is a bacterium, Propionibacterium acnes. The pustules crust often gives way to more or less deep and extensive scarring.
Risks
Acne in adults is often less severe than during puberty. The psychological impact is generally lower than in adolescents, but oily skin, irregular, with large pores, pimples and/or scars still resented. When acne leaves important and irreversible skin marks, specific dermatological and expensive procedures (dermabrasion, laser … etc.) may be necessary to remove or fade.
Acné
L’acné est une maladie de peau très fréquente caractérisée par une inflammation du follicule pileux (d’où le nom de folliculite) avec peau grasse et boutons.
Chez la plupart des gens, cela commence et se termine à l’adolescence ou au début de la vingtaine, mais cela peut aussi affecter certaines personnes pour la première fois à la fin de la vingtaine ou dans la trentaine.
Les symptômes sont habituellement relativement légers, avec simplement quelques taches çà et là sur le visage, le cou ou les épaules.
Les symptômes sont classiquement un mélange des éléments suivants :
- Des taches sur LE VISAGE, LE COU, LA POITRINE ET LE DOS
- Une peau huileuse
- Des points noirs et des points blancs
- Des taches rouges enflammées
- Des taches jaunes remplies de pus
- Des CICATRICES de taches anciennes
- Parfois, des kystes mous plus volumineux peuvent se développer
Lorsque le problème est plus grave et de plus longue durée, l’acné peut avoir un impact sur les activités de tous les jours et elle peut être responsable d’un handicap social important à un âge réputé difficile.
Causes
L’acné est une maladie du follicule pileux et pilosébacé chargé de produire le sébum, corps gras protecteur de la peau. La cause principale de l’acné est due à une hyperproduction de sébum sous influence hormonale. Le sébum s’accumule et forme des lésions rétentionnelles, puis une surinfection par des bactéries comme Propionibacterium acnes conduit à des lésions inflammatoires.
Composition du sébum et de la flore cutanée bactérienne, taux d’hormones mâles mais aussi terrain familial sont des facteurs influençant l’acné.
Acne is a very common skin disease characterized by inflammation of the hair follicle (hence the name of folliculitis) with oily skin and pimples. Acne develops in spurts and affects mostly adolescents. Some severe forms of acne have physical and psychological impact as it is responsible for a significant social handicap at an age deemed difficult.
Causes
Acne is a disease of the hair follicle and pilosebaceous responsible for producing sebum, protecting fats of the skin. The main cause of acne is due to an overproduction of sebum under hormonal influence. Sebum accumulates and retentional forms occur and then a secondary infection by bacteria such as Propionibacterium acnes leads to inflammatory lesions.
Composition of sebum and bacterial skin flora, levels of male hormones but also family plot are factors influencing acne.