Les polluants environnementaux et les métaux
Les six principaux métaux lourds sont :
- l’aluminium,
- le baryum,
- le plomb,
- le mercure, le phosphore et le manganèse, les trois derniers cités étant les plus dangereux.
Avec l’émergence de nouveaux produits de synthèse, la liste des polluants environnementaux neurotoxiques ne cesse de s’allonger.
L’intoxication lente aux métaux lourds est due principalement :
- aux rejets industriels de mercure et de plomb dans l’atmosphère,
- à la présence de divers métaux dans les amalgames dentaires (mercure, étain, cuivre, béryllium, argent…),
- aux cigarettes (cadmium),
- aux vaccins en général (aluminium), dont le plus dangereux est le ROR (rougeole-oreillon-rubéole) à cause de sa teneur en mercure.
Les métaux lourds, en s’accumulant dans l’organisme, neutraliseraient une classe d’enzymes (les peptidases) dont le rôle est de détruire un ensemble de protéines alimentaires provenant du gluten et des caséines du lait.
Ils ont la capacité d’induire un phénomène d’auto-immunité en plus des dépôts silencieux qui se figent dans les organismes.
Les pays industrialisés sont particulièrement concernés par une hausse des troubles du comportement et de la personnalité liés au mercure : hyperactivité, autisme, schizophrénie, épilepsie, repli sur soi…
Dès lors que ces systèmes enzymatiques sont inhibés, les aliments ne sont plus assimilés et les nutriments deviennent toxiques.
De ce fait, lorsque les protéines des céréales contenant du gluten et celles du lait de vache ne sont pas complètement dégradées, elles franchissent la paroi intestinale et passent dans le flux sanguin, du fait de la perméabilité exagérée de l’intestin. Ces peptides atteignent les récepteurs du cerveau spécifiques à ces substances, sous forme d’opioïdes, et vont se comporter dans l’organisme comme certains morphiniques. En occupant et en saturant les récepteurs opiacés, les peptides provenant du gluten et de la caséine vont provoquer un ensemble de troubles comportementaux et dérégler la gestion des neurotransmetteurs (la sérotonine et la dopamine).
Pathologies induites par les intolérances alimentaires
L’atteinte intestinale
- Les agents pathogènes, à force d’occupation du milieu intestinal, vont induire l’inflammation de la muqueuse et sa déformation. La muqueuse présente normalement des petits orifices ou jonctions qui permettent le passage des éléments nutritifs dans le sang et la lymphe lorsque l’inflammation perdure, les jonctions deviennent béantes.
- Cet état de porosité intestinale ouvre les portes aux pollutions et infections multiples et aux maladies plus graves de type auto-immun.
- Lorsque la muqueuse est atteinte par l’inflammation et la porosité, les jonctions deviennent béantes.
- La muqueuse ne parvenant plus à jouer son rôle de filtre des bactéries, virus, toxines, macro-molécules alimentaires s’engouffrent dans les jonctions et parfois les obstruent, puis passent dans le sang et déclenchent un chapelet de maladies secondaires…
Dans ce cas de figure, on retrouve plus de 80 % de nos maladies :
- un bon nombre de maladies infectieuses (appareil urinaire, génital, pulmonaire, sphère ORL, cardiaque),
- dermatoses : acné, eczéma, psoriasis, teint terne, vieillissement prématuré, arthrose toxinique, ostéoporose
- états de fatigue, de surcharge hépatique où l’origine intestinale doit être considérée.
L’atteinte hépatique
Du fait de la porosité intestinale, des éléments indésirables vont passer en masse dans le sang.
C’est au foie que revient la tâche d’en faire le tri, afin de répartir dans l’organisme un sang épuré. Si les éléments toxiniques sont en nombre raisonnable, le foie accomplit cette mission et ainsi garantit la santé.
Tout se complique lorsque les toxines et les agents agresseurs sont en surnombre :
- les hépatocytes (cellules hépatiques) ne sont plus capables d’assumer leur rôle, elles s’épuisent et laissent passer dans le sang :
- agents infectieux,
- débris alimentaires
- polluants qui iront porter sur d’autres organes leurs méfaits
- bactéries pathogènes, virus, parasites, candida albicans ou autres polluants vont envahir l’organisme, n’étant plus arrêtés ni par la barrière intestinale, ni par le filtre hépatique.
- Troubles digestifs
- Troubles du transit
- Ulcère gastro-duodénal
- Colite
- Maladie de Crohn
- Diverticules - Polypes - Cancers intestinaux
- Cancers intestinaux
LES TROUBLES FONCTIONNELS DIGESTIFS
Ce sont les premiers symptômes à apparaître, apparemment bénins, qui très vite peuvent induire un état intestinal inflammatoire chronique en présence d’une dysbiose et d’une porosité intestinale.
Les troubles fonctionnels sont assez banals :
- un inconfort digestif,
- des ballonnements,
- des douleurs abdominales,
- des troubles du transit (constipation, diarrhée…)
- mais ces troubles digestifs chroniques peuvent se transformer, avec le temps, en maladies auto-immunes (maladie de Crohn, rectocolite ulcéro-hémorragique…).
Si tel est le cas, un traitement spécifique sera nécessaire (Régime atoxique du Dr Seignalet).
LES TROUBLES DU TRANSIT
Les diarrhées et la constipation sont systématiquement liées à un état inflammatoire de la muqueuse intestinale.
Par ailleurs, il est indispensable de vérifier la présence de germes pathogènes, en particulier le redoutable Candida albicans.
On peut conseiller l’association de curcuma-poivre (curry) pour gommer l’inflammation.
L’ULCÈRE GASTRODUODÉNAL
Elles ont aussi démontré que le traitement de l’allergie ou de l’intolérance est significativement plus efficace que les traitements classiques de l’ulcère.
Le résultat des travaux dans ce domaine attestent l’importance de l’allergie et de l’intolérance alimentaires comme cause des troubles digestifs.
Les aliments fréquemment impliqués sont le lait et les fromages, le soja et les œufs.
LA COLITE
Également nommée colopathie spasmodique, syndrome du côlon irritable ou colopathie fonctionnelle, la colite est une pathologie très répandue qui touche environ un Français sur quatre.
Elle représente 50 % des motifs de consultation en gastro-entérologie et se caractérise par trois symptômes principaux, associés ou alternés :
- Les douleurs abdominales ;
- Le ballonnement abdominal ;
- Les troubles du transit : constipation, diarrhée, ou alternance des deux.
Ainsi, une étude menée sur 122 personnes souffrant du syndrome du côlon irritable a révélé que l’éviction des aliments sensibilisants avait soulagé 70 % des patients.
Associée à une absorption accrue d’antigènes, elle peut induire des troubles articulaires comme la polyarthrite rhumatoïde ou la spondylarthrite ankylosante : deux maladies auto-immunes.
LA MALADIE DE CROHN
- Diarrhée chronique,
- douleurs abdominales,
- émission de glaires sanglantes
La maladie de Crohn touche 4 personnes sur 1 000.
Les lésions siègent principalement sur l’iléon terminal, plus rarement sur le côlon ou l’anus. La muqueuse intestinale est altérée, avec la présence d’ulcérations, de micro-abcès, de fissures et de fistules.
L’inflammation intestinale est matérialisée par une vitesse de sédimentation accélérée, une C-Reactiv Protein augmentée et une hyperleucocytose.
Cette maladie évolue par poussées entrecoupées de phases de rémission.
Les traitements classiques restent inopérants tout en provoquant des effets délétères (salicylés, cortisone, immunosuppresseurs…).
Cette affection, considérée comme incurable, peut amener à des mutilations chirurgicales.
En présence d’un processus inflammatoire pratiquement irréversible, seules les médecines naturelles peuvent s’avérer efficaces :
- Certaines huiles essentielles font merveille? par voie orale ou en massage de l’abdomen :
- HE de Verveine citronnée,
- HE de Menthe à longue feuille,
- HE Cannelle de Ceylan,
- HE de Sarriette,
- En parallèle, on peut recourir à des séances d’ionocinèse et de magnobiopulse.
- Les homéopathes prescrivent l’iodure de strontium à la 4e dilution décimale.
Les diverticules
Les diverticules sont des déformations de la muqueuse intestinale qui subit différents changements au gré des fermentations trop longues voire des putréfactions répétitives, des gaz, de la colonisation par des bactéries pathogènes et des inflammations fragilisant la muqueuse ; son altération sous forme d’hernies est appelée diverticule.
Il s’agit de cavités qui peuvent garder des résidus alimentaires, comme un levain favorisant des fermentations chroniques. Les diverticules peuvent évoluer vers l’infection, la perforation, la péritonite et l’hémorragie.
Les polypes
On accumule les polypes en laissant perdurer un processus inflammatoire au travers soit d’une diarrhée, soit d’une constipation non traitée, alors qu’en normalisant nos fonctions intestinales on s’éviterait tous ces problèmes.
Les cancers intestinaux
Des pathologies comme la rectocolite hémorragique, les polypes, la maladie de Crohn sont considérées comme précancéreuses, elles donnent le signal d’alerte et doivent inciter ceux qui en sont atteints à modifier leur mode alimentaire et à réorganiser leur milieu intestinal dans le sens de la normalisation.
Un apport enzymatique avant les repas représente une aide à la digestion et permet d’éviter les gaz qui distendent les parois intestinales, ces mêmes enzymes entraînent une action fibrinolytique (élimination du mucus excédentaire qui protège les cellules cancéreuses les rendant résistantes aux traitements), à laquelle s’ajoute l’action protéolytique (lyse des protéines pathogènes).
Les perturbations à distance
Les perturbations à distance s’expliquent par le fait que l’écosystème intestinal entretient des relations privilégiées, voire symboliques, avec certains organes tels le cerveau et le foie, C’est ainsi que toute perturbation fonctionnelle de la flore intestinale peut avoir des conséquences sur les rapports avec ces deux organes et réciproquement.
Sur le plan structurel et fonctionnel, le système nerveux intestinal et le cerveau présentent des analogies. Ils ont en commun les mêmes neurones sensoriels et moteurs, les mêmes circuits informationnels, les mêmes astrocytes et cellules gliales ainsi que les mêmes neurotransmetteurs (acétylcholine, noradrénaline, dopamine et sérotonine).
En effet, l’intestin contient plus de 100 millions de neurones, sécrète au moins 20 neurotransmetteurs identiques à ceux que l’on trouve dans le cerveau, produit 70 % des cellules immunitaires de l’organisme et héberge 100 000 milliards de bactéries.
L’assimilation des aliments et la digestion ne sont donc pas les seules fonctions du tube digestif, d’où le fait que l’on considère l’intestin comme un deuxième cerveau. D’ailleurs, le tube digestif peut communiquer avec notre cerveau au travers du système nerveux autonome (SNA).
La communication entre l’intestin et le cerveau peut s’interrompre, lorsqu’il y a inflammation intestinale :
- la flore est perturbée,
- la muqueuse intestinale devient hyperperméable
- le système immunitaire intestinal se met en marche
- toutes ces perturbations sont transmises au cerveau, et agressent la barrière hémato-encéphalique (le dernier filtre qui, lorsqu’il est débordé, provoque une altération neuronale à l’origine de la maladie d’Alzheimer et la sclérose en plaques).
Dès lors que l’intestin est enflammé et poreux, son système nerveux local est activé ainsi que les cellules nerveuses dans différentes régions du cerveau, ce qui donne lieu à des dérégulations métaboliques multiples et insoupçonnées. Les conséquences de la perturbation de la communication intestin-cerveau peuvent se manifester par :
- une prise de poids,
- une insulino-résistance
- une hyperglycémie, c’est-à-dire l’ensemble des principales caractéristiques du syndrome métabolique.
- la dépression peut aussi avoir pour origine et comme facteur d’entretien une inflammation d’origine digestive
- toutes les maladies inflammatoires et auto-immunes, peuvant avoir pour origine une dysbiose :
- polyarthrite rhumatoïde,
- spondylarthrite ankylosante,
- lupus,
- diabète,
- thyroïdite d’Hashimoto,
- migraine,
- fibromyalgie
- syndrome métabolique,
- obésité,
- maladies cardio-vasculaires,
- maladies neurodégénératives
Au-delà du tube digestif, les altérations peuvent contaminer :
- d’autres muqueuses (vaginales, urinaires, respiratoires),
- des tissus cutanés, articulaires et péri-articulaires..,
- des pathologies neurologiques,
- des infections ORL, broncho-pulmonaires, urinaires ou gynécologiques
- des pathologies cutanées (urticaire, eczéma)
La plupart de ces pathologies résultent d’un encrassage de la plupart des organes provoquant alors une atteinte des systèmes cutané, rhumatologique ou neuropsychique.
LA MIGRAINE
C’est l’une des maladies les plus fréquentes (7 millions de Français) qui relève des intolérances alimentaires et de l’hyperperméabilité intestinale.
Jusqu’à présent, on avait attribué un rôle déclenchant à certains aliments riches en médiateurs vaso-actifs (histamine, leucotriènes, tyramine) présents dans les fromages fermentés, les vins, le chocolat, les agrumes,
Certes, on peut les considérer comme des facteurs déclenchants, mais dans un nombre de cas restreint seulement.
C’est ainsi qu’on a sous-estimé le rôle des autres aliments dans la migraine.
Or, les études récentes concluent que 90 % des migraines seraient attribuées à des aliments sensibilisants.
Les immunoglobulines alimentaires incriminées sont très souvent les céréales, le blé, le lait, les œufs, le soja et les xénobiotiques (tabac, alcool, pilule).
En les identifiant, et en les supprimant, on obtient une réduction impressionnante des accès migraineux.
CARREFOUR BRONCHO-ORL
La sphère ORL est un émonctoire qui exprime la présence d’intolérances alimentaires.
Nombre de rhinorrhées, sinusites, otites, laryngites, bronchites, irritation des yeux, bourdonnements ou maladie de Ménière peuvent être imputés à un encombrement de l’appareil digestif ou à des grignotages intempestifs.
On observe une amélioration des symptômes ou une guérison totale dans 75 % des cas après l’éviction de l’aliment en cause.
Dans le cas de l’asthme, l’intolérance alimentaire n’apparaissait pas comme une cause possible, sans doute parce que les tests cutanés étaient fréquemment négatifs.
Les aliments les plus fréquemment impliqués sont le lait, le blé, l’œuf, la levure de boulanger, les conservateurs.
Après éviction, on relève une chute des immunoglobulines G.
Souvent l’asthme est associé à d’autres troubles digestifs, eczéma, nycturie (pipi au lit), douleurs articulaires, lorsque l’intolérance alimentaire est un facteur déclenchant.
LES PATHOLOGIES CUTANÉES
Les dermatoses, boutons, démangeaisons, inflammations du cuir chevelu, croûtes de lait, sont la conséquence de migrations toxiniques, bactériennes, d’origine intestinale.
L’intolérance au lait de vache est fréquente dans ce cas, les dermatoses telles que l’eczéma, l’acné, le psoriasis, se situent au croisement de facteurs intestinaux et nerveux. On retrouve souvent une constipation chronique ou une tendance à la diarrhée avec intoxination, le stress agit au niveau des intestins comme de la peau qui sont très fortement innervés et subissent les chocs émotionnels, ce qui aggrave le déséquilibre réciproque.
Dans l’urticaire chronique, l’élément responsable pourrait être un additif alimentaire de type colorant comme la tartrazine ou les salicylates, utilisés comme agents de saveurs mais aussi la cannelle, la vanille, l’acide benzoïque (un conservateur souvent utilisé pour les crevettes et le poisson). L’urticaire s’accompagne d’une rétention d’eau importante.
Quant aux flambées d’acné, elles aussi sont associées à un problème de sensibilité alimentaire. Les aliments les plus souvent incriminés sont le chocolat, les œufs, les cacahuètes, le Coca-Cola, le nutella (huile de palme). L’identification et l’élimination des aliments responsables diminuent l’inflammation.
OBÉSITÉ
Dans le cas de l’obésité, on observe au niveau des niveaux une intima (muqueuse) et une media (musculeuse) épaissies qui révèlent une pathologie cardio-vasculaire. Les triglycérides, la glycémie et la C-Reactive Protein sont en hausse. Soulignons la corrélation de la C-Reactive Protein avec les immunoglobulines G.
L’approche thérapeutique des problèmes de surcharge pondérale sous l’angle des intolérances alimentaires est récente et s’explique de la façon suivante :
- L’addiction à certains aliments trouve son explication par la présence excessive d’immunoglobulines G qui révèlent des intolérances. C’est ainsi que le patient qui en souffre consomme de façon répétée l’aliment responsable afin de masquer les symptômes apparaissant à l’arrêt de sa consommation.
- Cette surconsommation d’un aliment est à l’origine de la prise de poids.
- Par ailleurs, la rétention d’eau occasionnée par des aliments sensibilisants y participe également.
L’éviction de l’aliment sensibilisant entraîne, en retour, une perte d’eau importante et favorise la perte de poids. On explique ce phénomène par divers mécanismes, notamment l’action endorphine-like de certains aliments.
Que d’argent et de temps perdu pour obtenir un poids normal !
Il suffit de procéder à ce test des intolérances pour trouver une solution.
LES PROBLÈMES RHUMATISMAUX
De nombreuses études révèlent que les problèmes rhumatismaux sont dus à une intolérance alimentaire importante, car l’ingestion de certains aliments sensibilisants provoque des douleurs articulaires.
L’identification et l’élimination de ces aliments sensibilisants favorisent la rémission.
L’arthrose, l’arthrite, les rhumatismes toxiniques recouvrent plus de 80 % des cas d’inflammation articulaire, les toxines intestinales allant se loger dans les tissus cartilagineux ou osseux entraînant des inflammations douloureuses et la perte de la plasticité du cartilage comme de la résistance osseuse ;
La présence de corps étrangers et antigéniques dans l’intestin grêle induit une inflammation ainsi que des pathologies auto-immunes (spondylarthrite ankylosante, polyarthrite rhumatoïde).
Dans la polyarthrite rhumatoïde, outre l’association aux gènes HLA-DR (DR1, DR4, DR10 et DR14), on relève des déchets alimentaires et bactéries pathogènes qui franchissent les mailles élargies de la muqueuse intestinale (Yersinia, Salmonella, Proteus mirabilis) d’où l’intérêt des huiles essentielles bactéricides.
Parmi les intolérances les plus courantes, on retrouve les céréales, les caséines du lait, les œufs (ovalbumine), le porc, la morue et le cabillaud.
Quant aux lésions vasculaires (œdèmes, hématomes fréquents, fragilité capillaire, couperose, et thrombophlébite) on peut également les attribuer aux intolérances alimentaires.
LE DIABÈTE DE TYPES I et II
Cette maladie auto-immune est caractérisée par la destruction des cellules et des îlots de Langerhans du pancréas, ce qui explique l’absence de sécrétion d’insuline, De nombreux auto-anticorps ont été détectés contre les cellules du pancréas, contre l’insuline et contre le glutamate décarboxylase.
Le syndrome d’insulino résistance ou encore syndrome plurimétabolique pourrait etre en rapport avec un inhibiteur de la trypsine pancréatique par certains aliments.
De fortes variations de fréquence de ce diabète d’un pays à l’autre soulignent l’importance des éléments agresseurs dans le développement de l’insuffisance pancréatique.
Le lait est fortement incriminé (α et β-lactoglobuline) et l’ovalbumine de l’œuf.
Par ailleurs, ces antigènes sont corrélés aux cellules de Langerhans.
Désormais, avec la disponibilité de tests performants capables de recenser la majorité des intolérances alimentaires, de nombreuses pathologies peuvent être traitées.
LES MALADIES AUTO-IMMUNES
Si l’auto-immunité est physiologique, la maladie auto-immune est pathologique. Elle se caractérise par une réponse immunitaire cellulaire et/ou humorale dirigée contre diverses cellules ou constituants de l’individu.
Si certains antigènes sont connus pour induire un certain type d’auto-immunité, d’une manière générale, c’est l’excès d’antigènes tout venant qui induit l’apparition et le dépôt de complexes immuns circulants.
Presque tous les médicaments chimiques consommés à dose pondérable et au long cours induisent une hyperperméabilité intestinale et un stress oxydant par production de radicaux libres oxygénés. Il y a donc une perturbation de l’immunité où les peptides antigéniques de l’individu viennent détruire certains organes et créer des maladies auto-immunes.
Rappelons l’unique remède des maladies auto-immunes : l’lmmunoregul, composé de vitamine B6, tryptophane, de vitamine B3, de calcium, de stérols, de stérolines et d’huile essentielle de Ciste ladanifère. C’est un immunorégulateur.
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